La lutte contre les pigeons et les oiseaux marins ne doit pas être prise à la légère. Seules des mesures de préventions efficaces permettent d’éviter les dégradations et les nuisances qu’ils peuvent engendrer.
Salissures des façades et des sols, nuisances olfactives et sonores, propagation de parasites : les désagréments liés à l’installation de volatiles, pigeons, mouettes ou goélands, sur les corniches ou les toits des bâtiments sont nombreux et parfois irréversibles.
Les fientes acides des volatiles dégradent les façades et oxydent les peintures. Elles peuvent également endommager les carrosseries automobiles. Les nids et les cadavres d’oiseaux peuvent aussi boucher les systèmes d’écoulement des eaux de pluie et causer des infiltrations préjudiciables.
Pour éviter que pigeons, mouettes ou goélands n’élisent durablement domicile sur les corniches des façades et causent d’importantes dégradations, nous pouvons installer des picots, des filets ou des câbles tendus sur des bâtiments de toute hauteur.
Pour les zones étendues ou difficiles d’accès, comme les toitures et les charpentes, ou quand la pose de d’équipements classiques n’est pas suffisamment efficiente, nous pouvons recourir à des systèmes électro-répulsifs qui éloignent efficacement les volatiles les plus retors.
Extrait ou Interprétation
Non contractuel
Dans les lieux publics et privés : l’article 120 du règlement sanitaire départemental type stipule que toutes mesures doivent être prises si la pullulation de ces animaux est susceptible de causer une nuisance ou un risque de contamination de l’homme par une maladie transmissible.